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J.S.L. du 10/03/2013
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J.S.L. du 10/03/2013
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/une-chasse-de-contact
La chasse à l’arc demande des qualités qui vont au-delà de celles de la chasse traditionnelle. Une quête longue, difficile et parfois semée de doutes.
L’Association des chasseurs à l’arc de Saône-et-Loire (Chassarc 71) compte une quarantaine de membres actifs. Elle a pour but de rassembler les chasseurs à l’arc du département afin de mettre en avant les qualités et les spécificités de ce mode de chasse, explique Laurent Brun, nouveau président (Lire par ailleurs).
« La chasse à l’arc, un mode de chasse parmi d’autres, permet de gérer un territoire par des sorties individuelles à l’approche et à l’affût ainsi que par des journées de chasse collectives de type « poussée silencieuse » ou des archers marchent sans chien et sans bruits excessifs afin de faire se déplacer le gibier qui passera alors à portée des autres archers postés au sol ou dans les arbres, indique Laurent Brun.
« La participation d’archers à des journées de battue, devenue alors « mixte », est de plus en plus fréquente car tous les chasseurs ont maintenant très bien compris leur complémentarité. Il arrive aussi de plus en plus souvent que des organismes de référence, comme l’ONF ou des municipalités, invitent les archers pour réaliser des prélèvements sans bruits et sans risques pour les autres utilisateurs de la nature nombreux comme dans des forêts périurbaines ouvertes avec parcours de santé ou arboretum, par exemple… », explique-t-il
« La chasse à l’arc est également un excellent moyen de régulation des prédateurs : renards, blaireaux et ragondins, car à l’arc, tout gibier est un grand gibier de par la nécessité d’approcher l’animal à portée de flèche et il vaut mieux s’abstenir de décocher que de risquer de blesser un animal, souligne Laurent Brun. « Plusieurs sangliers, chevreuils, lièvres, lapins, ont encore été prélevés, cette saison dans le département, par des archers désireux d’ajouter un peu de difficulté dans la pratique de leur loisir favori. »
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/le-resultat-de-la-fleche-trois-etapes
le résultat de la flèche : trois étapes
Tout chasseur a le devoir de contrôler le résultat de sa flèche, que le gibier soit supposé blessé ou manqué. Ce contrôle s’effectue en trois étapes.
1) Observation de la réaction du gibier au moment du tir: C’est-à-dire de tout comportement anormal au moment ou tout de suite après le tir (affaissement, plainte de l’animal, dos voûté, fuite anormalement rapide ou lente, etc.).
2) Recherche d’indices à l’impact ou autour de l’impact: Après l’annonce de la fin de traque, le tireur aidé de son voisin ou du chef de ligne, par exemple, situe l’emplacement de l’animal au moment du tir. À cet effet, il reste à son poste et guide son aide vers cet emplacement ; celui-ci localisé, le tireur quitte son poste pour rejoindre son aide. Ensemble, à l’emplacement et autour de cet emplacement, ils essaient de retrouver la trace de la flèche (sillon dans terre, impact dans arbre, branches ou herbes entre autres). Attention : trouver trace de la flèche ne veut pas forcément dire gibier manqué. À cet égard, voici les indices présents à l’emplacement même du gibier : empreintes anormalement marquées, présence de poils (très important), d’os, de lambeaux de chair, de contenu stomacal ou intestinal (difficile à détecter donc examen très approfondi des lieux), de sang (si possible en observer la couleur).
3) Recherche d’indices dans la direction de fuite du gibier: Si la trace de fuite est visible, la suivre une centaine de mètres pour essayer de déceler un des indices recherchés (sang surtout). En l’absence de traces de fuite, décrire des cercles de plus en plus grands autour de la direction de fuite, recouper ainsi la trace à plusieurs reprises et trouver éventuellement l’indice recherché.
Certaines blessures ne commencent à saigner que bien après l’impact et quelquefois très peu surtout que le stress de l’animal n’est pas aussi présent du fait de l’absence de détonation. Les conducteurs qui ont eu la volonté d’effectuer une recherche sur du gibier fléché ont bien compris que c’était une recherche aussi importante qu’une autre.
Les nouveaux chasseurs à l’arc peuvent trouver tous les renseignements dont ils ont besoin sur www.chassarc71.com
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/l-annee-2012-a-vu-l-assemblee-generale-proceder-au-renouvellement-de-l-equipe-dirigeante
L’année 2012 a vu l’assemblée générale procéder au renouvellement de l’équipe dirigeante
L’année 2012 a vu l’assemblée générale procéder au renouvellement de l’équipe dirigeante. L’Association est maintenant présidée par Laurent Brun. Thierry Arrault en est le vice-président. Fabrice Jaillot, le secrétaire, Anthony Morlet, ancien président, le trésorier. Cette équipe dynamique « va continuer à œuvrer dans la continuité de l’action des fondateurs de l’association toujours omniprésents. Des modifications sont apparues dans la réglementation. Celles-ci vont dans le sens de la simplification ainsi que du bon sens et de la compétence que chacun peut développer lors des multiples journées de formation obligatoires puisqu’il n’y a maintenant plus de poids minimum de des flèches ni de taille minimum des arcs. »
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/l-emploi-pour-la-chasse-a-tir-d-autres-armes-ou-instruments-de-propulsion
L’emploi pour la chasse à tir d’autres armes ou instruments de propulsion
L’emploi pour la chasse à tir d’autres armes ou instruments de propulsion
est prohibé, ce qui vise notamment les arbalètes, les frondes ou lance-pierres. C’est pourquoi, les chasseurs à l’arc doivent justifier de la participation à une formation obligatoire qui conduit à l’acquisition des connaissances pratiques leur permettant de manipuler et d’utiliser un arc de chasse dans des conditions de sécurité optimales.
Jusqu’à présent, il fallait d’abord avoir le permis de chasser pour passer une journée de formation obligatoire (JFO).
Aujourd’hui, les archers peuvent anticiper cette démarche en passant la JFO avant même d’avoir obtenu le permis. Ils peuvent ainsi chasser à l’arc dès la validation de leur premier permis.
La formation comprend une partie théorique et une partie pratique. Elle est délivrée, en Saône-et-Loire, au cours de deux journées organisées par la Fédération des chasseurs auprès desquelles les candidats doivent s’inscrire.
Ces sessions de formation sont organisées en partenariat avec Chassarc 71. Cette année, elles se dérouleront le samedi 27 avril et le samedi 6 juillet. Par ailleurs, Chassarc 71 organisera le dimanche 21 avril à Fretterans, une séance d’arc-trap, une première en Bourgogne.
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/des-modifications-dans-la-pratique
Des modifications dans la pratique
Art. 8. − Pour la pratique de la chasse à l’arc, seuls sont autorisés les arcs dont l’armement et le maintien en position armée ne sont dus qu’à la seule force de l’archer.
Art. 9. − L’article 9 de l’arrêté du 18 août 2008 est ainsi rédigé : « pour la chasse à l’arc, sont seules autorisées : les pointes de chasse à effet assommoir sans couper ni percer, y compris celles équipées de griffes ou de pointes multiples, les pointes de chasse coupantes. Ces pointes ne peuvent être utilisées qu’en tir fichant.
Pour les tirs non fichants, les flèches doivent être équipées d’un large empennage destiné à freiner la vitesse
de la flèche.
La partie la plus large ne doit pas pouvoir s’inscrire sans déformation dans un cercle de 6 centimètres de diamètre.
Pour la chasse à l’arc du grand gibier sont seules autorisées : les pointes de chasse coupantes ayant au moins deux lames qui doivent présenter : soit un diamètre de coupe supérieur ou égal à 25 millimètres ; soit une longueur tranchante de chaque lame supérieure ou égale à 40 millimètres. »
Art. 10. L’article 10 de l’arrêté du 18 août 2008 est ainsi rédigé : « pour la chasse à l’arc de toutes les espèces sont donc interdites : les pointes de tir sur cible, les pointes ou flèches équipées de dispositifs toxiques ou d’explosifs. »
La chasse à l’arc demande des qualités qui vont au-delà de celles de la chasse traditionnelle. Une quête longue, difficile et parfois semée de doutes.
L’Association des chasseurs à l’arc de Saône-et-Loire (Chassarc 71) compte une quarantaine de membres actifs. Elle a pour but de rassembler les chasseurs à l’arc du département afin de mettre en avant les qualités et les spécificités de ce mode de chasse, explique Laurent Brun, nouveau président (Lire par ailleurs).
« La chasse à l’arc, un mode de chasse parmi d’autres, permet de gérer un territoire par des sorties individuelles à l’approche et à l’affût ainsi que par des journées de chasse collectives de type « poussée silencieuse » ou des archers marchent sans chien et sans bruits excessifs afin de faire se déplacer le gibier qui passera alors à portée des autres archers postés au sol ou dans les arbres, indique Laurent Brun.
« La participation d’archers à des journées de battue, devenue alors « mixte », est de plus en plus fréquente car tous les chasseurs ont maintenant très bien compris leur complémentarité. Il arrive aussi de plus en plus souvent que des organismes de référence, comme l’ONF ou des municipalités, invitent les archers pour réaliser des prélèvements sans bruits et sans risques pour les autres utilisateurs de la nature nombreux comme dans des forêts périurbaines ouvertes avec parcours de santé ou arboretum, par exemple… », explique-t-il
« La chasse à l’arc est également un excellent moyen de régulation des prédateurs : renards, blaireaux et ragondins, car à l’arc, tout gibier est un grand gibier de par la nécessité d’approcher l’animal à portée de flèche et il vaut mieux s’abstenir de décocher que de risquer de blesser un animal, souligne Laurent Brun. « Plusieurs sangliers, chevreuils, lièvres, lapins, ont encore été prélevés, cette saison dans le département, par des archers désireux d’ajouter un peu de difficulté dans la pratique de leur loisir favori. »
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/le-resultat-de-la-fleche-trois-etapes
le résultat de la flèche : trois étapes
Tout chasseur a le devoir de contrôler le résultat de sa flèche, que le gibier soit supposé blessé ou manqué. Ce contrôle s’effectue en trois étapes.
1) Observation de la réaction du gibier au moment du tir: C’est-à-dire de tout comportement anormal au moment ou tout de suite après le tir (affaissement, plainte de l’animal, dos voûté, fuite anormalement rapide ou lente, etc.).
2) Recherche d’indices à l’impact ou autour de l’impact: Après l’annonce de la fin de traque, le tireur aidé de son voisin ou du chef de ligne, par exemple, situe l’emplacement de l’animal au moment du tir. À cet effet, il reste à son poste et guide son aide vers cet emplacement ; celui-ci localisé, le tireur quitte son poste pour rejoindre son aide. Ensemble, à l’emplacement et autour de cet emplacement, ils essaient de retrouver la trace de la flèche (sillon dans terre, impact dans arbre, branches ou herbes entre autres). Attention : trouver trace de la flèche ne veut pas forcément dire gibier manqué. À cet égard, voici les indices présents à l’emplacement même du gibier : empreintes anormalement marquées, présence de poils (très important), d’os, de lambeaux de chair, de contenu stomacal ou intestinal (difficile à détecter donc examen très approfondi des lieux), de sang (si possible en observer la couleur).
3) Recherche d’indices dans la direction de fuite du gibier: Si la trace de fuite est visible, la suivre une centaine de mètres pour essayer de déceler un des indices recherchés (sang surtout). En l’absence de traces de fuite, décrire des cercles de plus en plus grands autour de la direction de fuite, recouper ainsi la trace à plusieurs reprises et trouver éventuellement l’indice recherché.
Certaines blessures ne commencent à saigner que bien après l’impact et quelquefois très peu surtout que le stress de l’animal n’est pas aussi présent du fait de l’absence de détonation. Les conducteurs qui ont eu la volonté d’effectuer une recherche sur du gibier fléché ont bien compris que c’était une recherche aussi importante qu’une autre.
Les nouveaux chasseurs à l’arc peuvent trouver tous les renseignements dont ils ont besoin sur www.chassarc71.com
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/l-annee-2012-a-vu-l-assemblee-generale-proceder-au-renouvellement-de-l-equipe-dirigeante
L’année 2012 a vu l’assemblée générale procéder au renouvellement de l’équipe dirigeante
L’année 2012 a vu l’assemblée générale procéder au renouvellement de l’équipe dirigeante. L’Association est maintenant présidée par Laurent Brun. Thierry Arrault en est le vice-président. Fabrice Jaillot, le secrétaire, Anthony Morlet, ancien président, le trésorier. Cette équipe dynamique « va continuer à œuvrer dans la continuité de l’action des fondateurs de l’association toujours omniprésents. Des modifications sont apparues dans la réglementation. Celles-ci vont dans le sens de la simplification ainsi que du bon sens et de la compétence que chacun peut développer lors des multiples journées de formation obligatoires puisqu’il n’y a maintenant plus de poids minimum de des flèches ni de taille minimum des arcs. »
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/l-emploi-pour-la-chasse-a-tir-d-autres-armes-ou-instruments-de-propulsion
L’emploi pour la chasse à tir d’autres armes ou instruments de propulsion
L’emploi pour la chasse à tir d’autres armes ou instruments de propulsion
est prohibé, ce qui vise notamment les arbalètes, les frondes ou lance-pierres. C’est pourquoi, les chasseurs à l’arc doivent justifier de la participation à une formation obligatoire qui conduit à l’acquisition des connaissances pratiques leur permettant de manipuler et d’utiliser un arc de chasse dans des conditions de sécurité optimales.
Jusqu’à présent, il fallait d’abord avoir le permis de chasser pour passer une journée de formation obligatoire (JFO).
Aujourd’hui, les archers peuvent anticiper cette démarche en passant la JFO avant même d’avoir obtenu le permis. Ils peuvent ainsi chasser à l’arc dès la validation de leur premier permis.
La formation comprend une partie théorique et une partie pratique. Elle est délivrée, en Saône-et-Loire, au cours de deux journées organisées par la Fédération des chasseurs auprès desquelles les candidats doivent s’inscrire.
Ces sessions de formation sont organisées en partenariat avec Chassarc 71. Cette année, elles se dérouleront le samedi 27 avril et le samedi 6 juillet. Par ailleurs, Chassarc 71 organisera le dimanche 21 avril à Fretterans, une séance d’arc-trap, une première en Bourgogne.
http://www.lejsl.com/loisirs/2013/03/10/des-modifications-dans-la-pratique
Des modifications dans la pratique
Art. 8. − Pour la pratique de la chasse à l’arc, seuls sont autorisés les arcs dont l’armement et le maintien en position armée ne sont dus qu’à la seule force de l’archer.
Art. 9. − L’article 9 de l’arrêté du 18 août 2008 est ainsi rédigé : « pour la chasse à l’arc, sont seules autorisées : les pointes de chasse à effet assommoir sans couper ni percer, y compris celles équipées de griffes ou de pointes multiples, les pointes de chasse coupantes. Ces pointes ne peuvent être utilisées qu’en tir fichant.
Pour les tirs non fichants, les flèches doivent être équipées d’un large empennage destiné à freiner la vitesse
de la flèche.
La partie la plus large ne doit pas pouvoir s’inscrire sans déformation dans un cercle de 6 centimètres de diamètre.
Pour la chasse à l’arc du grand gibier sont seules autorisées : les pointes de chasse coupantes ayant au moins deux lames qui doivent présenter : soit un diamètre de coupe supérieur ou égal à 25 millimètres ; soit une longueur tranchante de chaque lame supérieure ou égale à 40 millimètres. »
Art. 10. L’article 10 de l’arrêté du 18 août 2008 est ainsi rédigé : « pour la chasse à l’arc de toutes les espèces sont donc interdites : les pointes de tir sur cible, les pointes ou flèches équipées de dispositifs toxiques ou d’explosifs. »
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